Comme aime à dire un confrère, il y a deux erreurs à ne pas commettre avec le diable: croire qu’il n’existe pas, ou le faire trop exister! Dans les décennies de la fin du XXème siècle, on a eu tendance à tomber dans le premier piège. Aujourd’hui, notamment chez nos jeunes, on succomberait plutôt au second, en le voyant partout ou en imaginant des possessions dès le moindre trouble psychologiques.