La distillerie Morand – Marie Mathyer et Carine Cornaz Bays

De génération en génération

«Je suis un livre de recettes. Écrit au présent. Un carnet noir, chéri et caché, consulté comme un trésor, vénéré par ceux qui le peuvent, pour ce que je suis, mais aussi ce que je représente. Car je suis le gardien d’une mémoire collective, le témoin de tant de destins. Le reflet d’une saga familiale sur plus de quatre générations. Je raconte en filigrane les idées de ceux qui m’ont pensé, créé et réalisé.»

Marie Mathyer, sur la base des recherches historiques de Carine Cornaz Bays, fait parler le carnet de recettes de la Distillerie Louis Morand et cie à Martigny. Le grimoire ne divulgue pas les secrets de fabrication de la célèbre Williamine ou de la fameuse Abricotine. Il raconte avec tendresse et truculence les portraits des premiers pères de la distillerie jusqu’aux dirigeants d’aujourd’hui. Mais aussi les femmes qui gravitent, entre ombre et lumière, à leurs côtés. Les employés fidèles, les frasques et les coups du sort. Tout ce qui fait la saveur unique et fascinante de cette famille d’entrepreneurs dont les liqueurs, eaux-de-vie et sirops sont connus et appréciés loin à la ronde. Une histoire valaisanne, de succès et de persévérance.

Invitation au vernissage du livre
le dimanche 18 juin à 17h à la Distillerie Morand (Rue de Plaisance 2 à Martigny) en présence de l’Orchestre des Jeunes de la Suisse romande (OJSR)
avec Achille Vocat, membre de la 5e génération, comme soliste au violon.
Entrée libre pour le concert, la séance de dédicace et le cocktail, chapeau à la sortie pour les musicien.ne.s

Parution prévue le 18 juin 2023

Marie Mathyer

Marie Mathyer est journaliste. Elle écrit dans les médias romands depuis plus de quinze ans. Elle aime mettre en mots la parole des autres et raconter les coulisses et les destins, les aventures des héros du quotidien.

Carine Cornaz Bays

Carine Cornaz Bays est historienne-ethnologue. Elle aime mettre en lumière l’intérêt patrimonial des sujets étudiés. Passionnée par tout ce qui a trait à l’alimentation et aux produits du terroir, elle a réalisé pour les 130 ans de la Distillerie Morand une plaquette résumant son histoire.

Points chauds pour l’avenir de l’Eglise – Elisabeth Parmentier, Salvatore Loiero, Isabelle Garessus (dir.)

Regards croisés en francophonie – Perspectives pastorales n°18

Mélanges offerts pour les 65 ans du professeur abbé François-Xavier Amherdt

À l’occasion du départ à la retraite académique du directeur de la collection «Perspectives pastorales» et professeur de théologie pastorale, pédagogie reli- gieuse et homilétique à la Faculté de théologie de l’Université de Fribourg depuis 2007, François-Xavier Amherdt, près d’une trentaine de ses collègues catholiques et réformés, femmes et hommes, ont eu carte blanche afin de dégager quelques «points chauds» pour l’avenir de l’Église et de la théologie. Puisqu’aux théologiens se mêlent les voix de journalistes et d’agents pastoraux, le résultat donne de passionnants «Mélanges», en une sorte de mosaïque bigarrée mais cohérente.

En voici quelques pierres parmi les plus colorées: un christianisme de la grâce, de la conversion et de l’empathie; une théologie de l’art de vivre, spirituelle et mystique, prospective et critique, mystagogique avec Jean de la Croix, à l’heure des mutations anthropologiques; le courage de la formation; l’enseignement de la liturgie; l’art de la prédication; la catéchèse en mode laboratoire; le chemin synodal en tant que diaconal; un point de vue réformé sur les ministères, Marie et la communion des saints; le bibliodrame; nature et Parole; être Église ensemble plutôt qu’à distance; une Église polyphonique parce que connaissant son centre; etc. Un panorama diversifié mais engagé et passionnant.

François-Xavier Amherdt est prêtre du diocèse de Sion, professeur de théologie pastorale, pédagogie religieuse et homilétique et président du Département de théologie pratique à la Faculté de théologie de l’Université de Fribourg.

Élisabeth Parmentier est professeure de théologie pratique et doyenne de la Faculté de théologie de l’Université de Genève.

Salvatore Loiero est professeur germanophone de théologie pastorale, pédagogie religieuse et homilétique à la Faculté de théologie de l’Université de Fribourg.

Isabelle Garessus est assistante diplômée de François-Xavier Amherdt à la Faculté de théologie de l’Université de Fribourg.

Vocations, où êtes-vous?

Les vocations religieuses et sacerdotales dans les pays occidentaux sont en baisse constante.
S’il n’est pas facile de discerner les causes d’une telle situation, il est important de ne pas tomber dans des considérations simplistes et de rechercher les origines de la dévalorisation d’un
idéal si apprécié et si recherché dans la vie de l’Eglise.

Sites internet pour paroisse, secteur, UP…

Votre diocèse propose peut-être un espace pour votre paroisse, secteur ou unité pastoral, mais vous souhaitez plus. Saint-Augustin qui travaille déjà avec les paroisses pour l’édition de journaux paroissiaux, le conseil de libraires spécialisé.es dans le religieux, vous propose un site internet standard et paramétrable qui peut très rapidement être mis en place à un coût défiant la concurrence.
Consultez nos tarifs ici

Développé en WordPress, tout le développement est confiné dans deux éléments, facilement intégrable à un site de paroisse, de secteur, d’unité pastorale ou de décanat:

  • un thème WordPress qui contient l’ensemble du visuel facilement paramétrable pour une ou plusieurs paroisses,
  • une extension WordPress contenant les fonctionnalités, soit des facilités d’affichage – calendrier liturgique, agenda paroissial – et de connexion à la plateforme « L’Essentiel, votre magazine paroissial ».

    Vous avez des questions, contactez-moi: Chantal Salamin, +41 24 486 05 21, web@staugustin.ch ou utilisez le formulaire ci-dessous:



      Rendre compte de la foi aujourd’hui – Frère Alain Taillard

      Coédition avec les Editions Ouverture

      Préface de Pierre Gisel, théologien, professeur honoraire à l’Université de Lausanne

      «C’est l’expérience qui fait le théologien», disait Luther. Après des décennies d’enseignement, l’auteur, moine bénédictin, souhaite dans cet essai reprendre et transmettre ce qui l’habite. Rendre compte de la foi chrétienne, aujourd’hui, dans notre culture suppose liberté, audace et créativité. A partir d’un enracinement monastique et œcuménique, li est possible, à l’écoute de l’Évangile. de revisiter certains thèmes de la foi chrétienne pour éviter que le christianisme ne sorte peu à peu du champ social.

      Comme le relève Pierre Gisel dans sa préface, ce livre a valeur de synthèse: «Une svnthèse, non exhaustive, mais décantée et engagée. Tout au long du texte résonne l’écoute de Dieu dans la liturgie et la lectio, ici monastique. La Bible y est centrale, mais c’est en ce que sa lecture et sa méditation régulières prennent avec elles le lecteur ou l’auditeur, avec tout ce qu’il est, sa culture et sa personne propre, le texte ouvrant sur de la nouveauté qui vient travailler en nous de l’ancien et subvertir le monde clos dans lequel nous nous enfermons trop souvent.»

      Cet essai ne présuppose pas que la foi chrétienne aille de soi. Aussi, s’il pouvait rejoindre des personnes qui ne la partagent pas. li aurait atteint son but. Car nous sommes tous confrontés. chrétiens ou non, à la tâche de devenir plus humains.

      Disponible dès le 10 avril 2023

      Journal d’incertitude – Geneviève de Simone-Cornet

      Des mots de longue patience

      «Un faire-part en noir et blanc. Au recto, le portrait d’un jeune homme en veston cravate souligné par deux dates: 1920-1940, et deux lieux: Harre et Liège. Un visage sérieux qui cache mal un brin de malice. Au verso, une brève biographie et quelques traits de caractère. C’est peu pour résumer une vie.

      Près de quarante ans ont passé. Je l’ai toujours, ce faire-part dont l’encre s’efface. Entre les pages d’un bréviaire semblable à celui qu’il aurait tenu entre ses mains jour après jour si la mort n’était venue le faucher à 20 ans, au séminaire, en pleine guerre.

      Nos vies ne se sont pas croisées. Mais j’éprouve pour mon oncle une tendresse émue. Ces pages lui rendent hommage et si
      je glisse ma plume dans sa main, c’est pour imaginer avec lui l’Eglise de demain. Une Eglise traversée d’incertitude, une Eglise des petits pas, des paroles d’encouragement et de miséricorde, des gestes concrets. Une Église qui dit juste ce qu’il faut pour faire signe.»

      Disponible à l’achat dès le 10 avril 2023

      Découvrir un extrait

      Femmes en quête de guérison – Aurélie Netz

      Spiritualité et résilience dans la maladie chronique

      Préface de Magali Jenny

      «Aurélie Netz a su avec passion, délicatesse et pertinence, non seulement rendre compte d’une réalité socio-anthropologique, mais également rendre hommage à des femmes qui se battent pour leur santé en devenant actrices de leur propre mieux-être.»

      Magali Jenny, autrice du Nouveau guide des guérisseurs de Suisse romande

      Ce livre est une enquête menée auprès de neuf femmes atteintes de maladie chronique. En parallèle d’un suivi médical, elles ont eu recours à des thérapies alternatives comme le reiki, la kinésiologie, le magnétisme ou la médecine chinoise… Chacune explique ce que ces thérapies et la spiritualité, qu’elle soit chrétienne, ésotérique, ou encore néopaïenne, ont transformé en elle. Ces témoignages interrogent les liens entre histoire de vie, violences subies, vécu au féminin, et maladie.

      Tout en proposant une relecture contextualisée avec des pistes concrètes, l’autrice montre comment la spiritualité et des manières différentes de prendre soin de soi peuvent se révéler efficaces et amener un réel mieux-être. Il y a là une invitation à reprendre le pou- voir sur sa vie et à travailler à sa propre guérison.

      Disponible à l’achat dès le 10 avril 2023

      Aurélie Netz

      Aurélie Netz est anthropologue, au bénéfice d’un master en sciences sociales à l’Université de Lausanne. Elle a publié en 2019 une première recherche ethnographique: Les Cercles de Femmes. Ritualiser l’identité de genre dans les spiritualités alternatives.

      Tania Netz, libraire, a fait de l’expression artistique son mode de vie. Elle a illustré, avec empathie et imagination, les récits de ces femmes, comme une invitation à rêver ce qui est écrit.

      Archéologie biblique

      Le Nouveau et l’Ancien Testament citent de très nombreux lieux, bâtiments, personnalités historiques. Est-ce pure invention ou pouvons-nous, au contraire, en retrouver la trace par une exploitation scientifique des recherches archéologiques menées aux endroits supposés du déroulement des récits? A la lueur des découvertes, comment pouvons-nous réconcilier le Sacré et la réalité des faits?

      La solitude du prêtre

      «Veillez sur vous-mêmes et sur tout le troupeau.» Cette recommandation de saint Paul (Ac 20, 28) invite les responsables de communauté à prendre soin d’eux-mêmes. Beaucoup de prêtres aujourd’hui ressentent une réelle solitude et un découragement face à la mission qui leur est confiée. A la suite des scandales, le prêtre n’apparaît plus comme le garant d’un comportement moral indéfectible. Soupçonné, il ne peut plus donner une image de solidité et de vérité et son ministère s’en trouve ainsi fragilisé.

      Mobilité, immobilité des fidèles

      Au vu des regroupements de communautés, de paroisses, de membres d’équipes pastorales d’une part, et de l’invitation par nos évêques à nous rassembler pour mieux célébrer et témoigner de notre foi, ça rouspète parmi les fidèles qui doivent se déplacer pour la messe… de 700 mètres! A l’ère de la mobilité tous azimuts – on fait des kilomètres pour ses courses, ses loisirs, ses visites, ses vacances… – on rechigne à se déplacer d’église. Pourquoi?

      Fils de tonnelier – Armand Muller

      Suivi de «Putzmann»

      En 2021, je me suis enfin souvenu que mon père Jacques Muller attendait une réponse à la septième question qu’il m’avait adressée dans sa lettre du 7 mars 1978, et ce neuf mois avant qu’il nous quitte.

      C’est le dernier moment pour lui confier ce que j’ai sur le cœur!

      Avant d’aborder l’aspect conflictuel de nos relations à partir de 1975, je reviens sur notre histoire familiale. Alors que j’étais à l’abri de tout souci à la Stiftschule d’Einsiedeln, mon père était confronté au déclin de son métier de tonnelier-caviste. Ses soucis professionnels s’accumulaient. Vu qu’il était Commandant du Feu de la ville de Sierre depuis 1949, il offrit ses services à la commune et en 1956 il fut enfin engagé à la Police municipale.

      Durant ces années, je poursuivais mes études de théologie au Grand Séminaire de Sion et à l’Université d’Innsbruck. Ordonné prêtre en juin 1958, je fus nommé vicaire à Sierre contre toute attente et exerça mon ministère comme aumônier au sein des mouvements de la Jeunesse ouvrière catholique (JOC) et de l’Action catholique ouvrière (ACO) jusqu’en 1975, date à laquelle je «défroque».

      Le 1er octobre de cette même année, je commence mon travail de nettoyeur à l’Hôpital cantonal de Genève (HUG). Le journal écrit sur le vif à l’époque que j’ai retrouvé en 2020 est reproduit ici sous le nom de «Putzmann».

      Armand Muller

      Armand Muller est né et a grandi à Sierre. Après avoir quitté les ordres, il a travaillé comme nettoyeur et aide-postier et postier aux HUG jusqu’à sa retraite. Il vit avec sa compagne à Bernex. À près de 90 ans, il revient sur son parcours de vie et celui de son père à qui il «doit» des réponses.

      Armand Muller est né et a grandi à Sierre. Après avoir quitté les ordres, il a travaillé comme nettoyeur, aide-postier et postier aux HUG jusqu’à sa retraite. Il vit avec sa compagne à Bernex. À 90 ans, il prend la plume et ne manque pas de projets. Cet essai fait suite à sa confession parue dans Fils de tonnelier (coll. «Terres d’encre», Éditions Pillet, 2023), l’un et l’autre répondant à son besoin de partager et de témoigner de son Espérance.

      Une vie au ralenti – Pierrette Kirchner-Zufferey

      Témoignage d’une rescapée de la tuberculose en Valais

      «Je laisse mes jours sauter joyeusement entre les deux pôles d’attraction qui m’agitent en ce moment: les traces des souvenirs et traces de la percée des connaissances de la maladie qui a ravagé le monde et m’a happée sans pitié. Mes parents ont-ils cherché d’où me venait la fragilité qui en a résulté? Pas plus que le commun des mortels dans la même situation. Mais heureusement, qu’avant eux, des scientifiques ont tenté de trouver la cause des maladies, ce qui me permet aujourd’hui de me rabattre sur les archives de ceux qui auraient trouvé des traces de la tuberculose, car c’est elle qui s’est attaquée à mes poumons fragilisés.»

      Avec Léo, son fidèle compagnon qui lui offre aujourd’hui la mobilité comme semblant de liberté, Pierrette Kirchner-Zufferey revisite son parcours marqué par la tuberculose contractée à ses 15 ans. Alors qu’on lui prédisait une courte espérance de vie, elle témoigne soixante-cinq ans après qu’il est possible de vivre et bien vivre… au ralenti avec seulement 2/5e d’alvéoles pulmonaires.

      Sous forme de conférences, elle partage les connaissances glanées sur l’histoire de la prise en charge de cette maladie (diagnostic et traitements) ainsi que sur le développement des ligues pulmonaires et sanatoriums en Suisse romande.

      Entretien sur la foi – Valentin Roten

      Avec l’abbé Marc-Louis Passera

      «L’abbé Passera était la personne la plus érudite que j’ai rencontrée dans ma vie et représentait un père spirituel à mes yeux. Je sortais de chacune de ses messes en ayant le sentiment d’avoir appris quelque chose et en ressentant un profond apaisement. J’aurais été prêt à payer un billet d’entrée pour pouvoir l’écouter.»

      Décédé subitement en mars 2020, l’abbé Passera a profondément marqué les cœurs et les esprits des personnes rencontrées sur son chemin. Polyglotte engagé dans l’œcuménisme, notamment auprès de l’Église gréco-catholique de Roumanie, ce prêtre engagé sur Genève était un prédicateur apprécié.

      L’auteur partage ici son testament spirituel. Sans savoir que ce serait le dernier entretien, il a retranscrit la conversation qu’il a eue avec ce prêtre hors du commun quelques semaines avant son décès. Il s’en dégage une série d’éclairages sur des sujets de foi et de société où la parole circule très librement. Ce livre propose donc des ressources stimulantes pour approfondir sa foi ou en (re)découvrir quelques aspects fondamentaux sous un angle original.

      Disponible dès le 20 janvier 2023

      Ma confirmation approche – Pascal Desthieux

      Tout savoir sur la célébration

      Illustrations par Hélène VDB

      «Il n’y a pas beaucoup de jeunes qui se lancent dans un parcours de confirmation sans qu’il y ait eu un adulte qui l’y ait invité et encouragé. C’est beau de reconnaitre que sans l’étincelle du départ, il n’y aurait probablement pas eu de parcours de confirmation.»

      Cet ouvrage cherche à garder vive cette étincelle. Il s’adresse en priorité aux jeunes qui préparent leur confirmation et à leurs accompagnants (parents, catéchètes, parrains et marraines, prêtres et évêques…). Avec pédagogie et humour, l’abbé Pascal Desthieux décortique chaque étape de la messe de confirmation, en partant du principe que l’on vit beaucoup mieux ce que l’on comprend.

      Disponible dès le 20 janvier 2023

      Hélène VDB

      Hélène VDB est une artiste reconnue particulièrement pour ses dessins humoristiques. Elle a publié trois bandes dessinées Sauvons la Bretagne et la planète (Éditions YIL), Miro Incognito et Pause café carrière en entreprise (Kindle Direct Publishing), et illustré une dizaine de livres. Son site vdbdessinshumour.fr donne un aperçu de ses multiples talents.

      Pascal Desthieux

      Pascal Desthieux est recteur de la basilique Notre-Dame de Genève. Il a e été pendant six ans vicaire épiscopal du canton de Genève, et a eu le bonheur de célébrer de nombreuses confirmations au nom de son évêque. Il est l’auteur de La messe, enfin je comprends tout! et La confession, enfin je comprends mieux aux Éditions Saint-Augustin, et d’Habiter le silence dans la liturgie chez Salvator.

      Les 5 doigts de la pastorale… – Bernard Schubiger

      … et de la bonne gestion d’une équipe pastorale – Perspectives pastorales n°17

      Avec des illustrations de Pascale Bernasconi et une préface du directeur de la collection, l’abbé François-Xavier Amherdt, professeur de théologie à l’Université de Fribourg.

      Cet ouvrage présente de manière originale trois parties:

      D’abord une vision renouvelée de l’Église du concile Vatican II à partir de six figures originelles (Pierre, Jacques, Paul, Jean, Marie et Marie-Madeleine), pour approfondir le sens de l’Église en notre temps.

      Puis les 5 doigts de la pastorale, les cinq essentiels (essence de la vie chrétienne): la formation, la vie fraternelle, le souci de l’évangélisation, la vie de prière, la vie de charité, pour devenir un disciple missionnaire de Jésus-Christ.

      Et enfin les 5 doigts de la bonne gestion d’une équipe pastorale: la gestion des ressources, l’organisation du ministère et de la vie spirituelle de l’équipe, la charte d’équipe, la vision à moyen et long terme et enfin les projets nouveaux pour renouveler les paroisses, en vue de l’Église de demain.

      Bernard Schubiger

      Bernard Schubiger a fait ses études de théologie à la fois à l’université de Fribourg (Suisse) et à l’institut d’études théologiques (IET) à Bruxelles (Belgique), où il a été formé à la lecture des quatre sens de l’Ecriture. Durant ses trente-cinq années de ministère en paroisse dans le diocèse de Lausanne-Genève-Fribourg (LGF, Suisse), il a toujours exercé son ministère en collaboration avec d’autres prêtres, théologiens et assistants pastoraux, dans diverses équipes pastorales. Prêtre diocésain, il est actuellement actif dans l’équipe de formation du canton de Fribourg et dans l’aumônerie pour les personnes en situation de handicap.

      Le symbolisme de l’art sacré

      L’art sacré en Suisse romande est riche en époques et styles différents (de l’abbatiale de Romainmôtier à l’église de Gland). Il a en commun d’être un langage qui s’adresse aux «hommes de ce temps». Aujourd’hui, il nous parle de ce qui habitait le cœur de nos ancêtres, de la théologie de l’époque, mais aussi de ce qui faisait leurs angoisses et leurs joies.

      Vivre avec le syndrome de la queue de cheval – Stéphanie Fragnière et Caroline Mauron

      Avec la collaboration du Dr Xavier Jordan, chef du service de paraplégie à la Clinique romande de réadaptation de la SUVA à Sion

      Stéphanie a 6 ans lorsqu’elle tombe d’un arbre. Sa rate se fissure, les médecins se focalisent sur ce problème et «oublient» de contrôler le reste. Les années passent, ses maux de dos augmentent, mais personne ne semble entendre sa souffrance. Au cœur de ce livre, elle relate avec franchise et humour les nombreuses interventions chirurgicales, hospitalisations et errances médicales qu’elle a vécues jusqu’à ce qu’enfin, un neurochirurgien mette un nom sur ses maux: le syndrome de la queue de cheval.

      Cette pathologie touche la partie du bas du dos située au niveau du sacrum et constituée de nombreuses racines nerveuses de la moelle épinière. Une lésion de ces nerfs a de multiples conséquences: douleurs lombaires, perte de sensibilité dans le bas du corps et de coordination des organes internes, troubles moteurs se manifestant par des difficultés à marcher.

      Au fil des chapitres, Stéphanie explique comment elle jongle avec handicap, douleurs neurologiques et vie familiale. Son but: renseigner les gens potentiellement concernés et leur éviter les mêmes écueils. Le Dr Xavier Jordan, médecin-chef du service de paraplégie à la Clinique romande de réadaptation de la Suva à Sion, livre son point de vue de professionnel sur ce syndrome méconnu et les en- jeux de la réadaptation.

      Disponible à l’achat dès le 24 novembre 2022

      La fin d’un monde

      La notion d’apocalypse remonte aux origines de notre monde. Toutes les civilisations et toutes les religions ont une réponse en la matière. Mais cette crainte a resurgi à l’aune de la pandémie de Coronavirus. Certains y entrevoient un signe de la fin des temps, un fléau apocalyptique. Pourtant, il y a dans la fin du monde une histoire sans fin.